La cour d'assises du Nord va juger pour meurtre, à partir d'aujourd'hui ...
et jusque mercredi, un Maubeugeois quadragénaire pour un coup de couteau mortel. Un coup porté, en septembre 2008, à un autre quadragénaire au cours d'une dispute dans un immeuble de la cité des écrivains, également appelée les Blocs Blancs, en bordure de la route de Feignies.
Ce samedi 20 septembre 2008, Smaïl Cheki était mort dans l'appartement du Maubeugeois après avoir perdu beaucoup de sang en essayant de sortir de l'habitation pour trouver du secours, avant d'y retourner. Smaïl Cheki et l'auteur présumé étaient amis de longue date et s'étaient retrouvés pour l'après-midi dans l'appartement de l'accusé. Ils avaient apparemment beaucoup bu et le ton était subitement monté au sujet de la réussite de leurs vies respectives. Une dispute aurait éclaté car Smaïl Cheki estimait avoir un sort beaucoup plus enviable que son ami, lequel avait fini par brandir un couteau de cuisine pour l'obliger à quitter les lieux. Une rixe aurait alors éclaté entre les deux hommes, jusqu'au coup de lame apparemment porté à la carotide de Cheki par le Maubeugeois.
Ce dernier a depuis les faits constamment reconnu sa responsabilité, très affecté d'avoir tué un ami proche selon nos informations. Placé en détention dans le cadre de l'information judiciaire ouverte au pôle d'instruction de Valenciennes, il n'aurait jamais effectué de demande de mise en libération conditionnelle, selon son avocat Me Vincent Demory. « Il est droit dans ses bottes, il a dit dès le début de la procédure : " j'ai tué un homme, je ne comprendrais pas d'être libre" ».
Reste à déterminer les circonstances précises des faits qualifiés de meurtre par l'ordonnance de renvoi devant les jurés douaisiens, mais dont la qualification a évolué au cours de l'enquête. D'abord soupçonné de meurtre, le Maubeugeois avait ensuite été poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les faits ont été requalifiés par le juge d'instruction, ce que regrette la défense. Enfin, la compagne du Maubeugeois, un temps soupçonnée d'avoir tenté de faire disparaître les traces de sang, n'est pas poursuivie devant la cour
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Maubeuge/actualite/Secteur_Maubeuge/2011/05/02/article_un-maubeugeois-juge-aux-assises-aujourd.shtml
Ce samedi 20 septembre 2008, Smaïl Cheki était mort dans l'appartement du Maubeugeois après avoir perdu beaucoup de sang en essayant de sortir de l'habitation pour trouver du secours, avant d'y retourner. Smaïl Cheki et l'auteur présumé étaient amis de longue date et s'étaient retrouvés pour l'après-midi dans l'appartement de l'accusé. Ils avaient apparemment beaucoup bu et le ton était subitement monté au sujet de la réussite de leurs vies respectives. Une dispute aurait éclaté car Smaïl Cheki estimait avoir un sort beaucoup plus enviable que son ami, lequel avait fini par brandir un couteau de cuisine pour l'obliger à quitter les lieux. Une rixe aurait alors éclaté entre les deux hommes, jusqu'au coup de lame apparemment porté à la carotide de Cheki par le Maubeugeois.
Ce dernier a depuis les faits constamment reconnu sa responsabilité, très affecté d'avoir tué un ami proche selon nos informations. Placé en détention dans le cadre de l'information judiciaire ouverte au pôle d'instruction de Valenciennes, il n'aurait jamais effectué de demande de mise en libération conditionnelle, selon son avocat Me Vincent Demory. « Il est droit dans ses bottes, il a dit dès le début de la procédure : " j'ai tué un homme, je ne comprendrais pas d'être libre" ».
Reste à déterminer les circonstances précises des faits qualifiés de meurtre par l'ordonnance de renvoi devant les jurés douaisiens, mais dont la qualification a évolué au cours de l'enquête. D'abord soupçonné de meurtre, le Maubeugeois avait ensuite été poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les faits ont été requalifiés par le juge d'instruction, ce que regrette la défense. Enfin, la compagne du Maubeugeois, un temps soupçonnée d'avoir tenté de faire disparaître les traces de sang, n'est pas poursuivie devant la cour
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Maubeuge/actualite/Secteur_Maubeuge/2011/05/02/article_un-maubeugeois-juge-aux-assises-aujourd.shtml
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