Ces faits ont eu lieu dans la nuit du 7 au 8 octobre dernier, dans le logement familial de la rue de La Mairie, à Limoux.
Conclusions de nullité de la défense
Pour mémoire, cette affaire devait être jugée en comparution immédiate le lundi 9 octobre, mais elle avait été renvoyée à la demande de l’avocat du mis en cause, Me Serge Megnin, qui souhaitait un délai pour préparer la défense de son client. Scénario de renvoi identique le lundi 6 novembre dernier, mais cette fois-ci à la demande du parquet qui désirait prendre le temps né- cessaire, pour répondre aux conclusions de nullité soulevées par la défense, reçues par fax la veille de l’audience.
Dans les deux cas, alors que son avocat avait plaidé pour un placement sous contrôle judiciaire, le maintien en détention provisoire du prévenu avait été ordonné par le tribunal, dans le but de « prévenir le renouvellement de l’infraction et d’éviter toutes pressions sur la victime ». Sur le déroulement des faits, même s’ils n’ont pas encore été abordés dans le fond par le tribunal, on sait que c’est vers 1 h 30, dans la nuit du 7 au 8 octobre dernier, que les gendarmes avaient été alertés, alors qu’une femme et son fils de 4 ans venaient d’être victimes de violences de la part du père alcoolisé. Selon nos informations, c’est après avoir déjà violenté son épouse en début de soirée, et après avoir quitté le domicile, que le mari est revenu chez lui en état d’ivresse, avec l’intention ferme d’en découdre à nouveau. Aussi, c’est après avoir défoncé par la porte de son propre domicile que le trentenaire s’est copieusement mis à insulter sa femme avant de la molester.
■ Les gendarmes ont été outragés
Un Limouxin de 36 ans comparaît pour des violences sur sa femme et son fils de 4 anshttp://www.lindependant.fr/2017/11/16/un-limouxin-de-36-ans-comparait-pour-des-violences-sur-sa-femme-et-son-fils-de-4-ans,3070468.php
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