C'était le 4 février 2010. Il était aux environs de 7 h du matin. Ophélie Leterme, adolescente âgée d'une quinzaine d'années et scolarisée au lycée Fénelon de Cambrai,
s'apprêtait à rejoindre l'arrêt de bus situé rue de Lesdain, à Crèvecoeur-sur-l'Escaut, quand une voiture est arrivée, circulant en direction de Villers-Outréaux. Ophélie n'a pas eu le temps de s'écarter, le véhicule, une volkswagen passat noire, n'a pas eu le temps de l'éviter.
L'adolescente a été projetée 34 mètres au-delà du point d'impact, détermineront les constatations effectuées ce jour-là par les gendarmes. Elle décédera quelques heures plus tard.
C'est donc ce mardi que devrait se tenir le procès de l'automobiliste, un homme âgé d'une cinquantaine d'années. Un procès redouté par chacune des deux parties, mis en cause et partie civile, au regard de la vive émotion qu'il suscitera immanquablement : depuis l'accident, la famille est effondrée.
Depuis l'accident, le suspect serait « traumatisé » a expliqué son avocat maître Lammens, du barreau de Lille. Toutefois, l'audience pourrait permettre d'y voir plus clair dans le scénario de cet accident, dont les circonstances restent plus ou moins floues. D'aucuns estiment en effet que le véhicule roulait ce jour-là trop vite, tandis que le suspect a plusieurs fois expliqué qu'il avait été ébloui par les phares d'une voiture stationnée en sens inverse.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2011/04/04/article_l-accident-avait-coute-la-vie-a-la-jeune.shtml
C'est donc ce mardi que devrait se tenir le procès de l'automobiliste, un homme âgé d'une cinquantaine d'années. Un procès redouté par chacune des deux parties, mis en cause et partie civile, au regard de la vive émotion qu'il suscitera immanquablement : depuis l'accident, la famille est effondrée.
Depuis l'accident, le suspect serait « traumatisé » a expliqué son avocat maître Lammens, du barreau de Lille. Toutefois, l'audience pourrait permettre d'y voir plus clair dans le scénario de cet accident, dont les circonstances restent plus ou moins floues. D'aucuns estiment en effet que le véhicule roulait ce jour-là trop vite, tandis que le suspect a plusieurs fois expliqué qu'il avait été ébloui par les phares d'une voiture stationnée en sens inverse.
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