Deuxième journée du procès Le Couviour, ce mercredi, à Vannes. La cour d’assises examine la personnalité de Loïc Dugué puis de celle de Josiane Sidaner-Le Couviour.
La bru cet après-midi
Cet après midi, la cour d’assises du Morbihan devrait se pencher longuement sur la personnalité de Josiane Sidaner-Le Couviour, commanditaire du cambriolage - de l’assassinat ? - chez sa belle-mère Annette Le Couviour dans la nuit du 9 au 10 avril 2009 à son domicile de Grand-Champ. Pas moins de quatorze témoins sont cités…
Mais ce matin, les projecteurs sont braqués sur son ancien jardinier, Loïc Dugué, décrit comme « facile à vivre, discret » et qui « ne savait pas dire non ».
Douze années
« Je demande pardon à la famille Le Couviour et lui présente mes condoléances », a-t-il indiqué dès que le président lui a donné la parole. Une famille Le Couviour au service de laquelle ce natif de la Manche entre en 1995. Il était alors homme d’entretien et, pour partie, « était payé au noir ».
Loïc Dugué a travaillé pour eux pendant douze années. C’est à lui que Josiane Le Couviour a pensé pour dénicher des hommes de main lorsqu’elle a conçu son plan qui a conduit - de façon accidentelle ou pas - au décès de la septuagénaire.
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