L'avocate générale Corinne Savonne avait requis à son encontre 30 ans de réclusion en dénonçant une "exécution barbare, méthodique et minutée". "Il faut le garder longtemps en prison afin de le soigner et de le prendre en charge", avait souhaité la magistrate selon le journal Nice-Matin "A sa sortie, il ne doit pas y avoir une nouvelle Sabrina, éventrée avec un couteau puis égorgée."
Retour sur l'affaire
Sabrina, une étudiante de 17 ans, avait retrouvée morte au domicile familial sur la route de l'Escarène à un kilomètre de Lucéram dans l’arrière pays niçois. Elle avait été tuée à l'aide d'un couteau par un homme de 24 ans.L'auteur de faits, avait été appréhendé après avoir lui même téléphoné aux gendarmes.
L'homme avait été interpellé sur la terrasse de la maison de la jeune fille avec un couteau de plongée. Des tests ont montré qu'il n'était ni sous l'emprise de l'alcool ni sous celle d'autres substances.
Considéré comme un marginal, qui errait dans la région où sa mère résidait, il avait alors été placé en garde à vue. Durant son audition devant les gendarmes, il avait une nouvelle fois reconnu les faits, tout en demeurant extrêmement flou sur le mobile de son acte et sur une éventuelle préméditation.
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