Le tribunal correctionnel de Toulouse a jugé la semaine dernière le conducteur letton soupçonné d'avoir conduit son camion, alors qu'il était ivre et de s'être arrêté en plein milieu de l'autoroute 61 au niveau de Pompertuzat, mardi matin.
Ce jour-là, vers 7 heures, les gendarmes de Villefranche de Lauragais ont été alertés qu'un poids lourd était stationné en pleine voie centrale, sur l'autoroute A61. Quelques instants plus tard, une fois arrivés sur place, ils se sont rendu compte que le conducteur était complètement affalé sur son volant et qu'il ne répondait pas à leurs injonctions.
Les militaires ont donc décidé de l'extraire de sa cabine. Le conducteur titubait et sentait l'alcool. Malgré la présence d'un interprète, le camionneur a, dans un premier temps, refusé les tests sanguins pour finalement s'y soumettre plus de 8 heures plus tard.
À la grande stupéfaction des gendarmes, ils ont fait apparaître 0,74 mg d'alcool par litre de sang ce qui laisse songeur quant au taux d'alcool qu'il pouvait avoir au moment des faits.
«J'ai voulu faire une pause», se justifie Vladimir à l'audience du tribunal correctionnel. «Le problème est que vous étiez ivre et en plein milieu de l'autoroute», pointe Marie-Josée Courreau-Vergnolle, présidente du tribunal.
Ce jour-là, vers 7 heures, les gendarmes de Villefranche de Lauragais ont été alertés qu'un poids lourd était stationné en pleine voie centrale, sur l'autoroute A61. Quelques instants plus tard, une fois arrivés sur place, ils se sont rendu compte que le conducteur était complètement affalé sur son volant et qu'il ne répondait pas à leurs injonctions.
Les militaires ont donc décidé de l'extraire de sa cabine. Le conducteur titubait et sentait l'alcool. Malgré la présence d'un interprète, le camionneur a, dans un premier temps, refusé les tests sanguins pour finalement s'y soumettre plus de 8 heures plus tard.
À la grande stupéfaction des gendarmes, ils ont fait apparaître 0,74 mg d'alcool par litre de sang ce qui laisse songeur quant au taux d'alcool qu'il pouvait avoir au moment des faits.
«J'ai voulu faire une pause», se justifie Vladimir à l'audience du tribunal correctionnel. «Le problème est que vous étiez ivre et en plein milieu de l'autoroute», pointe Marie-Josée Courreau-Vergnolle, présidente du tribunal.
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