En 1948, à 33 ans, Jules Ouaki change de carrière : cet ancien officier radio dans un sous-marin des Forces françaises libres, Français d’origine tunisienne, décide d’aller tenter sa chance à Paris. Son idée ? Révolutionner le commerce en proposant des produits en vrac à ses clientes habituées aux tickets de rationnement. Pouvoir toucher la marchandise, la tester avant l’achat, c’est un vrai changement. Il choisit d’appeler cette boutique de 20 mètres carrés à Barbès « Tati », en hommage à sa mère, Esther, dont le surnom est Tita. La saga Tati est lancée, avec un slogan : « Tati, les plus bas prix ».
Ce lundi 29 mai, le tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis) doit commencer à étudier les dossiers de reprise des enseignes Tati.
En 1948, à 33 ans, Jules Ouaki change de carrière : cet ancien officier radio dans un sous-marin des Forces françaises libres, Français d’origine tunisienne, décide d’aller tenter sa chance à Paris. Son idée ? Révolutionner le commerce en proposant des produits en vrac à ses clientes habituées aux tickets de rationnement. Pouvoir toucher la marchandise, la tester avant l’achat, c’est un vrai changement. Il choisit d’appeler cette boutique de 20 mètres carrés à Barbès « Tati », en hommage à sa mère, Esther, dont le surnom est Tita. La saga Tati est lancée, avec un slogan : « Tati, les plus bas prix ».
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